Un chat égaré de chez lui. [PV : Poussière d'Argent]

Ce matin là, Riminou avait veillé toute la nuit. En effet, il désirait plus que tout devenir un chat sauvage ! Bien qu'il ne sache pas tout les problèmes qu'un chat sauvage peut endurer, il ne s'intéressait qu'à la nourriture dont il pouvait avoir droit, souris, lapin, oiseaux et cætera ... Il prit une grave décision : s'aventuré hors du jardin et voir ce qui se passe derrière la clôture. Malgré la reconnaissance qu'il éprouvait envers ses maître, et les caresses qu'il allait certainement regretté s'il devenait sauvage, il se jura de le faire, et de ne pas retourné en arrière si une nouvelle vie lui tendait les bras. Il alla faire un adieu, qui ne serait peut-être qu'un en revoir ou une coupure définitive de ses liens avec ses bipèdes. Riminou alla vider sa gamelle des croquettes qui y restaient et lapé le reste d'eau qui lui restait. Ensuite, il alla réclamé des câlins à ses maîtres. Riminou prit son courage à deux pattes et miaula pour qu'on lui ouvre. Aussitôt un bipède vint lui ouvrir et le regarda se blottir contre la parois du jardin. Riminou sauta, donna un bref coup d'œil vers le bipède puis sauta et s'aventura dans la sombre forêt.
Riminou sentit ses pattes s'enfoncées dans le sol boueux. Il exprima un air de dégoût lorsqu'il regarda ses coussinet devenir marron à cause de la terre. Malgré cela, il continua sa route. Il commençait à s'habituer à l'odeur de la forêt lorsqu'il parvint à l'endroit le plus culminant de la forêt selon lui : une colline. IL y sentit des odeurs de chats inconnus et des frissons lui parcoururent le corps : il reconnut l'odeur du chat qui, jadis, avait faillis lui entaillé le museau. Riminou faillit bien renoncé à son rêve, cependant, il sentait que quelqu'un l'observait, tapit dans l'ombre des arbres. Riminou sortit ses griffes, ce qui montrait un signe de combat ... ce qu'il n'aurait jamais du faire. Effectivement, un chat, un peu plus maigre que Riminou qui sentait à plein nez le sauvage, s'approcha de lui les griffes sorties et ses crocs, qu'il montrait d'un air supérieur brillaient au soleil. C'est à ce moment là que Riminou perdit son sang froid et déclara :
« Qui ... qui es-tu ? Surtout, ne m'attaque pas, je ne te veux aucun mal, je viens juste visité les lieux, s'il te plaît, épargne moi .... »